

Cet aveu n’est pas dans le roman, mais on peut à la rigueur le placer dans le bref intervalle dont parle M. Bertrand dans la lettre CLXIII : “Ensuite il [Valmont] a voulu qu’on les laissât seul ensemble pendant un moment.”
Antoine : Si j’étais une femme, je pourrais pas supporter de voir un homme à poil, je trouve ça vraiment dégoutant.
Christine : Pas tous.