Category: Sex
Ce sont mes fesses !
J’ai souligné les mots cochons
And there’s those that have got a weakness for whiskey and women
Joli cul
Je me déshabille. D’accord ? — Oui
Parce que ses pics rappellent de gros seins
True, we don’t tie ourselves in knots over a discreet bit of buggery
Let me taste
You won’t suck anybody else?
Where have all the flowers gone?
Long time passing
Where have all the flowers gone?
Pete Seeger
Eat ’em all
« Après la mort, faire l’amour, c’est une façon de compenser. On a besoin de se prouver qu’on existe. »
Patricia : Tu aimes cette affiche ? [Renoir, La Petite Fille au ruban bleu]
Michel : Pas mal.
Patricia : C’est un très grand peintre, Renoir.
Michel : J’ai dit pas mal.
Patricia : Est ce que tu la trouves plus jolie que moi ?
Michel : Dès que tu as peur ou que tu es étonnée, tu as un drôle de reflet dans les yeux. Je voudrais recoucher avec toi à cause de ce reflet. Je peux pisser dans le lavabo ?
Look up “friction”
Claris (Mimsy Farmer) : Here’s a dictionary with all the naughty words underlined.
Clayboy (James MacArthur) : Oh, I’ve seen all those.
— Look at this one.
— Holy smoke! How did you find them?
— Study hours. Look at that. Soon as you find out what they all mean, better erase the underline : I know them all by heart anyway. Look up “friction.” The girls at the academy thought it was a dirty word, so they went around saying “friction, friction.”
— It does sound dirty. Well, what do you know?
— Isn’t that a kick? Now if you’ll just friction me a little, I’ll ride home to supper.
— You are nuts.
— Go ahead, or I’ll start screaming.
— OK, scream… All right, all right. What do you want me to do?
— Just friction me for 10 seconds. That’s all you get this time.
Women who wear that love to make love
Pierre : Ce sont des corsages panthères.
Nicole : Oui, oui, mais tu sais les femmes qui portent ça, et bien ce sont des femmes qui aiment l’amour.
Jesus doesn’t like porno films
We are made of dreams
« Peut-être que je rêve debout… Elle me fait penser à la musique… Son visage… On est arrivés à l’époque des hommes doubles… On n’a plus besoin de miroir pour parler tout seul… Quand Marianne dit Il fait beau, rien d’autre, à quoi elle pense ? D’elle je n’ai que cette apparence disant Il fait beau, rien d’autre… À quoi bon expliquer ça ? Nous sommes faits de rêves et les rêves sont faits de nous… Il fait beau mon amour dans les rêves, les mots et la mort. Il fait beau mon amour. Il fait beau dans la vie. »
Pierrot le fou, 1965
« Et nous sommes de l’étoffe même dont les rêves sont faits. […] Quand tu dis qu’il fait beau, à quoi donc penses-tu ? J’entends qu’il fait beau, c’est tout. Je n’ai de toi que cette apparence, ce voile. […] À quoi bon expliquer cela, si n’est la vie autre étoffe que des rêves ? […] Il fait beau, mon amour, dans les rêves, les mots et la mort. Et la vie ? Il fait beau, mon amour, il fait beau dans la vie. »
Aragon, La Mise à mort, 1965, p. 130-133
Looks like a penis, only smaller
This witticism predates the film. An earlier instance maybe found in Richard Grayson’s short story, “The Finest Joe Colletti Story Ever Written (So Far)”, originally published in WRIT magazine #8, Innis College, Toronto, 1973.