Author: denis_neyruda
Something’s burning!
Borges talks about
Alexandre : Je suis assez pour l’ennui. Comme cette secte d’hérétiques dont parle Borges, je crois, et dont la qualité essentielle est dans l’ennui. Pas dans la foi, l’enthousiasme: dans l’ennui, le nul.
Preacher: Somewhere it is written there are three things a man really requires: good whiskey, a bold song, and an honest woman.
Altar Keane (Marlene Dietrich): Or any woman.
An anonymous letter
Ahead of its time, I’d say
L’avenir est en avance sur nous. On est en retard. On est en retard sur l’heure actuelle. Nous rêves sont trop courts pour ce qui existe déjà… La réalité est déjà au-delà de nos rêves
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I’m afraid
I’m sorry, Dave
Open the pod bay doors please, HAL
I don’t work
You seen my dog?
I thank you for the milk
Six bottles of scotch
I just inherited a million dollars
I don’t know many people
Rosebud…
We’re not together
Your hands, your lips
Your voice, your eyes
Ta voix tes yeux tes mains tes lèvres
Nos silences nos paroles
La lumière qui s’en va la lumière qui revient,
Un seul sourire pour nous deux
Par besoin de savoir j’ai vu la nuit créer le jour sans que nous changions d’apparence […]
Le premier vers est tiré du poème « Ordre et désordre » dans Le Dur désir de durer (1946). Les autres vers lus par Natacha von Braun (Anna Karina) proviennent d’autres recueils de Paul Eluard (Capitale de la douleur, Corps mémorables, Le Phénix)
Antoine Doinel : Ben, j’mens, j’mens de temps en temps quoi… des fois je leur dirais des choses qui seraient la vérité ils me croiraient pas, alors je préfère dire des mensonges.
Petite Feuille : La Recherche de l’absolu vous a conduit droit au zéro, mon ami.
Dad, I need some money
Julien Doinel : Si tu me demandes 1000 francs, c’est qu’t’en espères 500, donc t’as besoin de 300. Tiens, v’la 100 balles.
This life sickens me
To love a wild thing
How do I look?
I love you
Got any whiskey upstairs?
Go to your room!
Cold hands, warm heart
Le même livre ?
Je suis “La République”
Claude roulait derrière Muriel dont il fixait la nuque, la partie d’elle qu’il préférait puisqu’il pouvait la regarder sans être vu.
Cf. Jules et Jim
« Je roule à bicyclette avec Muriel [… ]. Je suis derrière elle, je vois sa nuque » (Henri-Pierre Roché, Deux Anglaises et le continent, p. 115)