Category: Feelings
For the night is already at hand, and it is well to yield to the night.
(Homer, Illiad, Book VII, v. 282)
9
(The Odorama system invited viewers to scratch and smell a card according to the number that flashed on the screen)
Made it, Ma!
(Colin Firth is reading Kafka’s The Metamorphosis in the 1946 Vanguard edition.)
Weekends, like life, are short
Life’s but a walking shadow
Same old story with men
Look, it’s Jesus!
Oh, God, why has thou forsaken me?
Kiss her, you fool
Kurutta kajitsu
Mekagojira no Gyakushū
Relax!
We are made of dreams
« Peut-être que je rêve debout… Elle me fait penser à la musique… Son visage… On est arrivés à l’époque des hommes doubles… On n’a plus besoin de miroir pour parler tout seul… Quand Marianne dit Il fait beau, rien d’autre, à quoi elle pense ? D’elle je n’ai que cette apparence disant Il fait beau, rien d’autre… À quoi bon expliquer ça ? Nous sommes faits de rêves et les rêves sont faits de nous… Il fait beau mon amour dans les rêves, les mots et la mort. Il fait beau mon amour. Il fait beau dans la vie. »
Pierrot le fou, 1965
« Et nous sommes de l’étoffe même dont les rêves sont faits. […] Quand tu dis qu’il fait beau, à quoi donc penses-tu ? J’entends qu’il fait beau, c’est tout. Je n’ai de toi que cette apparence, ce voile. […] À quoi bon expliquer cela, si n’est la vie autre étoffe que des rêves ? […] Il fait beau, mon amour, dans les rêves, les mots et la mort. Et la vie ? Il fait beau, mon amour, il fait beau dans la vie. »
Aragon, La Mise à mort, 1965, p. 130-133
Looks like a penis, only smaller
This witticism predates the film. An earlier instance maybe found in Richard Grayson’s short story, “The Finest Joe Colletti Story Ever Written (So Far)”, originally published in WRIT magazine #8, Innis College, Toronto, 1973.