Par un temps pareil, il ferait bon se pendre.
On ne peut pas trouver mieux comme temps pour se pendre.
Une belle journée pour se pendre.
Il fait un temps parfait pour se pendre.
Un temps à se pendre avec plaisir.
Par un temps pareil, il ferait bon se pendre.
On ne peut pas trouver mieux comme temps pour se pendre.
Une belle journée pour se pendre.
Il fait un temps parfait pour se pendre.
Un temps à se pendre avec plaisir.
—People don’t belong to people.
—Of course they do !
—We belong to nobody and nobody belongs to us.
(Matthieu 5:45)
La légende urbaine des 50 mots inuits pour dire neige, trouve son origine dans le Handbook of Americian Indian Languages (1910) où l’anthropologue Franz Boaz explique que les peuples indigènes du nord du Canada ont 4 mots différents pour nommer la neige selon qu’elle tombe, qu’elle est sur le sol, qu’elle est glissante ou en congère. Le nombre à été progressivement grossi à l’appui de l’hypothèse d’Edward Sapir, élève de Boas, selon laquelle la façon dont on perçoit le monde dépend du langage.