

Pourquoi nier l’évidente nécessité de la mémoire ?
On ne se souvient pas, on réécrit la mémoire comme on réécrit l’histoire.
Regarde comme je t’oublie, regarde-moi !
Rien ne distingue les souvenirs des autres moments : ce n’est que plus tard qu’ils se font reconnaître, à leurs cicatrices
Je t’oublierai, je t’oublie déjà
(Elle 🙂 Je me souviendrai de toi comme de l’horreur de l’oubli
Des souvenirs… Est-ce que j’ai une gueule à faire l’amour avec des souvenirs ?
I’ll wait for you. If they hang you, I’ll always remember you
They can’t censor our memories
There are enough memories for all of us
Puis, comme pour lui, l’oubli gagnera ta voix. Pareil. Puis, comme pour lui, il triomphera de toi tout entier, peu à peu. Tu deviendras une chanson.
I’ll never forget the first time I met her