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Disappointment Reproach, rudeness

Les mots sont là, mais pas dans l’ordre

Polanski, McGregor
The Ghost Writer (2010)

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Inspirational, advice

Yet all the suns that light the corridors of the universe

Fleischer, Kennedy
Fantastic Voyage (1966)

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Inspirational, advice

shine dim before the blazing of a single thought…

Fleischer, Boyd, Welch, Kennedy, Pleasence
Fantastic Voyage (1966)

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Inspirational, advice

… proclaiming an incandescent glory: The myriad mind of man

On ne connaît pas l’auteur de la citation commencée par le docteur Duval (Arthur Kennedy) et poursuivie par l’agent Grant (Stephen Boyd). L’idée générale se trouve chez Pascal : “Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée.” ( Pensées, fragment 347) ; l’expression finale est chez Coleridge à propos de Shakespeare, “our myriad-minded bard”.

Fleischer, Boyd, Welch, Kennedy, Pleasence
Fantastic Voyage (1966)

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We stand in the middle of infinity, between outer and inner space

Car enfin qu’est-ce que l’homme dans la nature ? Un néant à l’égard de l’infini, un tout à l’égard du néant, un milieu entre rien et tout.

Pascal, Pensées, “Disproportion de l’homme”

Fleischer, Welch, Kennedy
Fantastic Voyage (1966)

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Christmas Inspirational, advice

There are no good or bad choices


Rohmer
Conte d’hiver (1992)

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Christmas Inspirational, advice

Choice shouldn’t come into it

Je les blâmerai d’avoir fait, non ce choix, mais un choix […] (Pascal, Pensées, “Preuves par discours I”)

Rohmer
Conte d’hiver (1992)

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Science has two extremes that touch each other

Le monde juge bien des choses, car il est dans l’ignorance naturelle, qui est le vrai siège de l’homme. Les sciences ont deux extrémités qui se touchent. La première est la pure ignorance naturelle où se trouvent tous les hommes en naissant. L’autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu’ils ne savent rien et se rencontrent en cette même ignorance d’où ils étaient partis. Mais c’est une ignorance savante, qui se connaît. Ceux d’entre‑deux, qui sont sortis de l’ignorance naturelle et n’ont pu arriver à l’autre, ont quelque teinture de cette science suffisante et font les entendus. Ceux‑là troublent le monde et jugent mal de tout. Le peuple et les habiles composent le train du monde, ceux‑là le méprisent et sont méprisés. Ils jugent mal de toutes choses, et le monde en juge bien. (Pascal, Pensées, Raison des effets)

Rossellini, Arditi
Blaise Pascal (1972)

They are the ones who spread confusion and misjudge everything


Rossellini, Arditi
Blaise Pascal (1972)

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Fear

The silence of infinite space appalled me

Interrogé par Alpha 60, Lemmy Caution parodie Pascal :

“Vous arrivez des pays extérieurs : qu’avez-vous éprouvé en traversant les espaces galaxiques ? — Le silence de ces espaces infinis m’a… m’a effrayé.”

“Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie.” (Pensées)

 


Godard, Constantine
Alphaville (1965)

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Refusal

Donc l’argument ne vaut rien pour quelqu’un qui est absolument incroyant

 

Rohmer, Trintignant, Vittez
Ma nuit chez Maud (1969)

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Inspirational, advice

Hold fast to that idea and you will prosper

 

Rossellini, Arditi
Blaise Pascal (1972)

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Pascal probably drank Chanturgue, since he was born here


Rohmer, Trintignant
Ma nuit chez Maud (1969)

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Mathematician and philosopher are one

Rohmer, Trintignant
Ma nuit chez Maud (1969)

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Surprise, wonder

“Man is a thinking reed.” “The two infinities”

L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant.
(Pascal, Pensées
Notre raison est toujours déçue par l’inconstance des apparences : rien ne peut fixer le fini entre les deux infinis qui l’enferment et le fuient.
(Pascal, Pensées)
 
 

Rohmer, Fabian, Vittez
Ma nuit chez Maud (1969)