Claude roulait derrière Muriel dont il fixait la nuque, la partie d’elle qu’il préférait puisqu’il pouvait la regarder sans être vu.
Cf. Jules et Jim
« Je roule à bicyclette avec Muriel [… ]. Je suis derrière elle, je vois sa nuque » (Henri-Pierre Roché, Deux Anglaises et le continent, p. 115)